Aujourd'hui 6 août le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, a annoncé : qu'un drone visant la capitale russe avait été abattu par les forces de défense aériennes, après plusieurs attaques similaires. Les Ukrainiens, eux aussi, annoncent avoir repoussé des attaques aériennes russes.
Samedi soir 5 août le président ukrainien, Volodymyr Zelensky a annoncé : qu'une bombe russe avait touché un centre de transfusion sanguine, faisant des morts et des blessés. Ce centre se trouve à Koupiansk, une ville de la région de Kharkiv, sur l'est du pays. Volodymyr Zelensky qualifie l'attaque de nouveau crime de guerre et les Russes de bêtes qui détruisent tout ce qui permet de vivre.
Les Russes à leur côté, accusent l'armée ukrainienne d'avoir ciblé et touché la nuit dernière, celle du dimanche 6 août, l'université de Donetsk par des bombes à sous-munitions. D'après le maire de la ville, désigné par la Russie, un bâtiment est en feu. Aucune de ces informations n'est vérifiable de façon indépendante.
Depuis en 2008, l'utilisation des bombes à sous-munitions est interdite, depuis l'adoption, d'un traité international. Mais ni la Russie, ni l'Ukraine n'ont signé cette convention. À l'instar des États-Unis qui ont annoncé la livraison de plus de 3,5 millions de bombes à sous-munitions à Kiev. L'objectif est de permettre à l'armée ukrainienne de riposter aux attaques russes perpétrées avec ces mêmes armes décriées.